2009 LAURÉAT Tak Wah Mak, PhD Cellules, génétique et génomique, Maladies infectieuses, allergies et immunité, Cancer
4 octobre 1945
(Southern China)
MSc, University of Wisconsin (1969)
PhD, University of Alberta (1972)
2023: Prix de l'Alliance canadienne pour la recherche sur le cancer
2023 : Prix international de la Fondation Pezcoller – AACR pour réalisations exceptionnelles dans le domaine de la recherche sur le cancer
Voir toutes les distinctionsPrix et distinctions :
2023: Prix de l'Alliance canadienne pour la recherche sur le cancer
2023 : Prix international de la Fondation Pezcoller – AACR pour réalisations exceptionnelles dans le domaine de la recherche sur le cancer
2018 : Prix Feuille d’or des IRSC
2008 : Ordre de l’Ontario
2008 : Doctorat honorifique en sciences, Université de Hong Kong
2008 : Doctorat honorifique en médecine, Université de Rome
2004 : Prix Paul Ehrlich
2004 : Doctorat honorifique en sciences, Université York
2004 : Doctorat honorifique en sciences, Université Ryerson
2001 : Doctorat honorifique en médecine, Université de Zurich, Suisse
2000 : Officier de l’Ordre du Canada
1998 : Prix Novartis en immunologie
1996 : Prix Sloan
1997 : Prix Robert Nobel, Institut national du cancer du Canada
1992 : Doctorat honorifique en sciences, Université Laurentienne
1989 : Prix international Gairdner pour la science
1989 : Doctorat honorifique en sciences, Université Carleton
1986 : Membre de la Société royale du Canada
Il a découvert les caractéristiques du récepteur des cellules T.
Une personnalité marquante en biologie moléculaire et cellulaire
En 1984, Tak Wah Mak a résolu l’un des problèmes les plus difficiles en immunologie, celui de la structure du récepteur d’antigènes des lymphocytes T, dont la nature était auparavant inconnue. En fait, on croyait que le récepteur des lymphocytes T constituait une forme inhabituelle d’anticorps.
Tak Wah Mak a découvert que les lymphocytes T utilisent en fait un ensemble de gènes totalement différents pour reconnaître les antigènes. Il a démontré que le récepteur d’antigènes des lymphocytes T était de bien des façons de conception semblable aux anticorps, bien que d’origine et de séquence génétique entièrement différentes. On ne saurait trop insister sur l’importance et la signification de cette découverte fondamentale pour tous les domaines de l’immunologie. Au cours des 25 années suivantes, Tak Wah Mak a ouvert des pistes de recherche remarquables en biologie moléculaire du système immunitaire et du cancer.
Faits saillants
Il a été le pionnier du développement de souris génétiquement modifiées
Il a dirigé une équipe chez Amgen qui a produit 20 découvertes moléculaires brevetées pour le développement de médicaments
Il a découvert les voies moléculaires critiques exprimées dans les cellules cancéreuses
Il a découvert la fonction de multiples composants du système immunitaire inné et acquis
Il a mis au point IDHIFA, le premier médicament homologué ciblant spécifiquement le métabolisme du cancer et pouvant être utilisé pour le traitement du cancer
Il est l’auteur de plus de 1000 publications et il a été cité plus de 100000 fois
Historique professionnel
Répercussions sur la vie aujourd’hui
Depuis sa découverte révolutionnaire des récepteurs des cellules T dans les années 1980 et jusqu’à aujourd’hui, l’héritage de Tak Wah Mak est toujours bien présent. Son laboratoire demeure à l’avant-garde de multiples domaines de la recherche en biologie qui ont un impact direct sur la santé publique dans le monde. Au Canada, M. Mak a contribué à rehausser le profil de la recherche canadienne sur le cancer et a attiré d’importantes subventions et dons au Centre de cancérolotie Princess Margaret. De plus, les «Marches contre les cancers féminins» ont permis de recueillir plus de 145 millions de dollars pour la recherche de Tak Wah Mak. Grâce à son excellence scientifique et à son engagement indéfectible envers l’immunologie et la recherche sur le cancer, Tak Wah Mak continue de nourrir l’espoir que l’on trouvera un jour un remède au cancer du sein.
2023
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Tak Mak récompensé du prestigieux prix international scientifique « Fondation Pezcoller – AACR pour réalisations extraordinaires dans le domaine de la recherche sur le cancer »
Âgé de 76 ans, Tak Mak ne manifeste aucune intention de prendre sa retraite : « Il ne me reste rien à prouver à l’exception que le combat contre le cancer n’est pas terminé. »
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Intronisation de Tak Wah Mak au Temple de la renommée médicale canadienne
Montréal (Québec)
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Pour aider à faire progresser les applications pratiques de ses découvertes scientifiques, Tak Wah Mak cofonde Agios Pharmaceuticals
CancerEn août 2017, l’IDHIFA d’Agios est approuvé pour le traitement du cancer.
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Tak Wah Mak devient directeur de l’Institut de recherche sur le cancer du sein de la famille Campbell à l’hôpital Princess Margaret
CancerIl acquiert une renommée internationale en identifiant les mécanismes moléculaires critiques qui s’expriment dans les cellules cancéreuses, ce qui commence à expliquer comment ces cellules échappent au contrôle normal de la croissance et de la mort cellulaire.
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Avec l’appui d’Amgen, la plus grande entreprise indépendante de biotechnologie au monde, Tak Wah Mak créer l’Institut de recherche Amgen à Toronto
Cellules, génétique et génomiqueIl crée en milieu de recherche universitaire l’un des meilleurs automates de synthèse de médicaments qui permet de repérer deux nouvelles cibles pour les médicaments.
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Entreprend une période de plus de 20 ans pendant laquelle il sera rédacteur de plusieurs revues de premier plan en immunologie
Parmi ces revues, mentionnons The International Journal of Immunology, The Scandinavian Journal of Immunology et The Immunologist.
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Le Tak Wah Mak découvre la structure du capteur d’antigènes des cellules T, véritable « Saint-Graal » de l’immunologie
Cellules, génétique et génomiqueSa découverte demeure la base de la recherche dans 5 000 laboratoires dans le monde.
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Tak Wah Mak se joint à l’Université de Toronto à titre de professeur agrégé au département de biophysique médicale
Dix ans plus tard, il devient professeur titulaire aux départements de biophysique médicale et d’immunologie.
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Après avoir obtenu son doctorat, le Tak Wah Mak est déménagé en Ontario pour faire un stage postdoctoral à l’Institut ontarien du cancer à Toronto
L’année suivante, il est devenu membre du personnel scientifique supérieur.
1972
Mon unique façon d’être heureux, c’était de faire quelque chose de très différent.
Ressources supplémentaires :
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